Résistant déporté à Buchenwald puis Dora, où il finit par mourir en mars 1944, Yves Crespin est une figure particulièrement intéressante de « l’armée des ombres » en Bretagne. En effet, le parcours de ce pasteur ne manque pas d’interpeller en cette péninsule armoricaine que l’on qualifie trop souvent rapidement d’unanimement catholique. On ne peut donc qu’accueillir avec bienveillance l’ouvrage que les éditions protestantes La Cause viennent de lui consacrer, même si quelques précautions d’emploi s’imposent.
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1939-194510 juin 1941, 2 novembre 1943, 24 janvier 1944, 28 septembre 1906, 41e RI, 47e RI, Armée des ombres, Armée secrète, Buchenwald, Certificat médical, Comité départemental de Libération, Communauté, Côtes-du-Nord, Croix rouge internationale, Déportation, Député, Dora, Edit de Nantes, Editions La Cause, Eglise Saint-Michel, Emsav, Erling Hansen, Espagne (guerre d'), Esprit de Strasbourg, Eugène Fleury, François Marcot, Fred Aubert, Germaine Aubert, Guerres de religions, Henri Avril, Honorabilité, Injonctions contradictoires, Interprète, Isabelle Le Boulanger, Jeanne Kleinhaus, Louis Aubert, Louis Guilloux, Lucien Blangy, Lucien Febvre, Lycée de garçons de Saint-Brieuc, Neuengamme, Norvège, Notabilité, Octave-Louis Aubert, Pasteur, Préfet, Principe de disponibilité fonctionnelle, Protestant, Recension, Réforme, Réfugiés espagnols, Répression, Résistance, Révocation, Richard Fortat, Saint-Brieuc, Sandbostel, Service du travail obligatoire (STO), Sociabilité, Tribunal militaire allemand de Saint-Brieuc, Yves Crespin, Yves LavoquerErwan Le Gall